The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom est un jeu d’aventure et d’action développé et édité par Nintendo, distribué sur Nintendo Switch. Tears of the Kingdom s’inscrit dans la continuité du précédent opus de la saga, The Legend of Zelda: Breath of the Wild sorti en 2017, et invite le joueur à explorer le vaste royaume d’Hyrule dans le cadre d’une aventure épique. Il faudra y affronter des monstres, résoudre des énigmes et surtout faire preuve de créativité.
Classification PEGI
Catégorie d’âge
Déconseillé aux joueurs de moins de 12 ans
Descripteur de contenu
– Violence > le jeu contient des scènes de violence non réaliste contre des personnages humains ou des créatures fantastiques
The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom en quelques mots
S’inscrivant dans la suite directe de The Legend of Zelda: Breath of the Wild, The Legend of Zelda: Tears of the Kingdom embarque le joueur dans une épopée de grande envergure. Le joueur y incarne de nouveau le jeune héros Link qui devra faire preuve de courage et d’inventivité pour aider la princesse Zelda à sauver le monde d’Hyrule.
Le jeu se déroule dans le même univers que celui de l’opus précédent. Mais un mal ancien réveillé accidentellement déclenche un cataclysme qui remodèle profondément le royaume d’Hyrule. Des roches sont projetées dans le ciel formant des îles volantes alors que de profondes cavernes creusées dans le sous-sol sont remplies de magie noire… La verticalité de l’univers de jeu contribue au sentiment de liberté du joueur. Celui-ci devra explorer ce « nouveau » monde (notamment à dos de montures) et repousser les forces maléfiques qui le menacent avec l’aide d’anciens ou de nouveaux alliés.
Un monde infini
L’originalité de Tears of the Kingdom réside notamment dans ce monde totalement ouvert et regorgeant d’activités diverses. Chaque recoin de l’univers de jeu peut cacher des trésors à découvrir, des énigmes à résoudre, des personnages à rencontrer, des campements de monstres à affronter, etc. Le joueur peut donc se contenter de suivre l’histoire principale ou au contraire se perdre dans une multitude d’activités secondaires. Tears of the Kingdom peut alors occuper le joueur pendant des dizaines, voire des centaines d’heures.
Des défis à surmonter par la créativité
Pour surmonter les défis du monde d’Hyrule, le joueur doit faire preuve de créativité, notamment en utilisant les capacités de Link. Grâce à « Amalgame », le personnage peut par exemple fusionner les innombrables armes du jeu entre elles pour qu’elles produisent de nouveaux effets magiques (les combinaisons sont infinies ou presque), « Emprise » permet de déplacer et d’assembler des objets entre eux pour fabriquer des structures ou des véhicules. « Infiltration » pour traverser les plafonds d’un donjon par exemple…
Lorsque le joueur est confronté à un combat ou à une énigme, il peut mettre le jeu en pause. Et ainsi prendre le temps de réfléchir aux meilleures combinaisons d’objets à adopter en fonction des circonstances. Par exemple appliquer un effet de feu à une arme, un bouclier ou à des flèches pour affronter un monstre de glace par exemple). Ou encore comment utiliser le décor à son profit (déclencher les stocks d’explosifs d’un campement pour blesser les monstres alentours). Il faudra parfois créer des ponts ou des escaliers, des chariots ou des bateaux pour franchir un obstacle, provoquer des éboulements du haut d’une colline, inonder des espaces pour faire flotter ou réussir à déplacer des objets… Autant de capacités qui permettront de progresser dans une centaine de sanctuaires différents remplis d’énigmes.
Une liberté d’action
Techniquement, la liberté d’action est quasiment infinie (le gameplay est totalement ouvert) et le joueur doit sans cesse utiliser son intuition pour progresser. Deux joueurs arriveront peut-être au même point d’arrivée mais en ayant utilisé des moyens totalement différents pour l’atteindre. Car chaque problème peut être surmonté ou contourné de différentes façons.
Les sujets à aborder avec les joueurs
Une violence stylisée : dans Zelda: Tears of the Kingdom, le joueur est régulièrement confronté à des ennemis humains ou à des monstres à affronter dans des combats épiques. Il existe parfois des alternatives pacifistes, mais le joueur peut aussi choisir d’attaquer des adversaires qui ne le menacent pas directement. Cette violence est très stylisée et peu réaliste (pas de sang, pas de gore, les adversaires vaincus disparaissent quasi-instantanément), notamment du fait des graphismes de type « anime » de Tears of the Kingdom. Pour autant, le joueur doit régulièrement utiliser des armes de mêlée ou des projectiles, des explosifs, de la magie, voire imaginer des « techniques mortelles » pour éliminer ses adversaires. Si la violence n’est pas choquante, le choix de recourir ou non à la violence gratuitement peut nourrir une discussion avec le joueur.
Le temps de jeu : Tears of the Kingdom est un jeu extrêmement riche proposant énormément de contenus dans un monde ouvert. En d’autres termes, le joueur est toujours confronté à de nouvelles tentations (il a toujours « quelque chose à faire » et toujours « quelque chose en cours »). Du fait de sa structure très ouverte, le jeu est peu chapitré et offre peu d’occasions claires d’interrompre une partie en cours. Les sessions de jeu peuvent donc être très longues, à moins d’avoir la volonté d’interrompre sa partie. Définir un temps de jeu précis avec le joueur en début de session peut se révéler pertinent.